L’essaim des Saints
Aujourd’hui, c’est la Sainte Aude. C’est aussi, la Sainte Philippine, cavalière émérite, et nous rendons un hommage mérité à la craquante croquette des carpettes des Carpates, la Bienheureuse Karolina Kozka. Pas cola.
Maxima mea culpa
Emporté par ma fureur guerrière, le 14 novembre, j’ai dit un peu vite que le Clemenceau était un sous-marin. Souvenez-vous.
Voulant faire de l’humour facile, je parlais du chancelier Bismarck sans le nommer, parlant d’un gros moustachu avec un nom de cuirassé. (Sauf que j’ai écrit cuirassier pour de rire par référence aux guerres du nabot corse que je venais aussi d’évoquer). Vous ne suivez plus ? Ce n’est pas grave. Laissez-vous faire. Ca ne vous fera pas mal.
Et donc, évoquant le cuirassé Bismarck allemand, je voulais également perfidement et sottement moquer la marine française en citant un porte-avion français bien connu, habitué des avaries techniques et là patatras, l’erreur… je cite le Clemenceau.
Et je reçois des lettres courroucées… Aïe. Je tiens donc à présenter publiquement mes excuses.
Aux sous-marins : Dans une lettre fort virulente, Jean-Ernest de Burnemousse, président de la Guilde des bien-pensants et des mieux-disants me signale qu’on ne dit pas sous-marin, que c’est impoli et irrespectueux et qu’on dit navire à flottabilité différenciée. Dont acte.
A Clemenceau, pas Georges mais porte-avion, qui n’avait rien à voir avec ça puisque le seul porte-avion à avançabilité contrariée de la marine française est le Charles-de-Gaulle.
Ca m’apprendra à me perdre dans le dixième degré jusqu’à m’y noyer ! Si vous aussi vous voulez honnir mon incurie, si vous ne comprenez pas tout ce que je bave, si vous voulez savoir dans quel groupe de rap jouent Clément Sot et Charlie de Grolle, n’hésitez pas : laissez moi un commentaire !
Quant à ces hideux martiens, qu’ils restent dans leurs canaux, épuisés, lymphatiques !