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11 juillet 2011 1 11 /07 /juillet /2011 15:34

Très édifiante et fort vénérable encyclopédie

Picrocholine du micro savoir.

 

Par le très estimé

Professeur Nicodème Abélard Leruth de la Motte de la Tichauvent

(Nico le Tich pour les intimes mais il y en a peu)

Très richement illustrée de gravures d’époque.

 

Aujourd'hui : La fête de la Communauté Flamande, un hymne à l'amour.  

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  Source : http://portfolio.lesoir.be/main.php?g2_itemId=625811

 

Wallons, Wallonnes, Flamands, Flamandes, Bruxellois et oises, half en half et autres mélangés de proportionnalité diverse et variée, Belges, Belges, Bruxelles outragé, Bruxelles brisé mais Bruxelles libre, je vous ai compris : vous êtes des veaux.

Les autres, bonjour aussi.

Ce lundi 11 juillet, nos maîtres flamands, si beaux, si riches, si majoritaires en notre petit pays, commémorent leur fête nationale. Enfin communautaire. Bon, nationale quoi. A se demander pourquoi ce n’est pas encore officiellement la fête nationale Belge, le 11 juillet. C’est vrai qu’à dix jours près, on s’économiserait un feu d’artifice, ce dont mère nature qui n’aime pas avaler la fumée nous saurait gré. Et je ne vous parle pas de père portefeuille.

Mais, or, donc, en vérité… Ah non, je ne dois pas écrire comme ça. Ce que je vous raconte là n’est pas paroles d’évangile mais vérité nationale vraie dûment patentée par source autorisée. C’est dire.

Et donc en ce 11 juillet, nos sympathiques voisins Flamodurs font la fête. Rassurez-vous, je ne céderai pas aux sirènes lancinantes du poujadisme le plus gougnafier en me moquant lourdement des valeurs chères à nos voisins au pays si plat. C’est pas de leur faute non plus s’ils sont comme ça, il ne faut tout de même pas oublier que chez eux, tous les jours, il y a un canal qui se pend quand il ne se perd pas et que leurs uniques mâts de cocagnes n’inspirent quand même pas la gaudriole.

Mais quand même, ce n’est pas parce que 800 000 Flamodurs ont voté pour un gros gaufrier populiste tendance chemise brune que nous devons nous permettre un humour facile qui ne ferait que raviver nos rivalités. Ce n’est pas parce que plus de 45 % de ce charmant peuple vote pour des partis pêle-mêle identitaires, nationalistes, indépendantistes, populistes, racistes et tellement ouvertement que ça en donne des idées noires à défaut de chemises, que nous devons les fustiger sottement. Non, non : il y a quand même 55 % de Flamodurs qui votent pour des partis qui ne cultivent pas tout ce cortège nauséabond de termes en –iste, pas ouvertement en tout cas, et pas tout le temps.

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Source : http://portfolio.lesoir.be/main.php?g2_itemId=625811 

 

Non, il y a encore des démocrates et des humanistes en Flandre. Bart De Wever les appelle les mauvais Flamands. De là à ce qu’il couse des lions jaunes sur leur guenilles de prisonniers, il reste encore, je l’espère, un grand pas de l’oie à franchir.

Ce n’est pas parce que le Grand Historien de Flandres, le leader charismatique de tous ceux à qui il est plus facile de faire avaler des couleuvres qu’un peu de bon sens, s’est fait acclamer tel Jésus Christ entrant à Courtrai alors qu’il bloque à lui seul quasiment la politique belge depuis bientôt 4 ans, qu’il faudrait s’imaginer que derrière quelques excités nationalistes, il y a toute une population militante et bêlante de "echte vlamingen".

Non, pas d’attaques faciles en ce 11 juillet donc. C’est la fête. Nous nous flagellerons, nous, les Francomous pour notre arrogance, notre paresse d’assistés immobiles, profiteurs, trop stupides pour apprendre le Néerlandais, que dis-je notre fainéantise flemmardière et prompte au hamac que nous reprochent avec tant de sollicitude amicale et amitieuse nos amis Flamodurs. Nous n’y verrons pas la haine ou la xénophobie que des esprits chagrins veulent y mettre mais plutôt les conseils avisés d’un père, sévère mais juste, à son enfant encore insouciant et immature.

Et non, nous ne dirons pas que si ces propos étaient adressés à une autre minorité ethnique que la bande de gros mous avachis que nous sommes, la voie des tribunaux serait plus ouverte qu’une autoroute teutonne à un défilé de panzers. Le fâcheux est tellement procédurier.

Non, nous ne ferons pas de procès d’intention à ce fier peuple martyr d’une Francomollie impérialiste et arrogante.

Mais que fêtent-donc les Flamodurs en ce 11 juillet ? Comme tous les peuples tout hérissés de gloriole nationale et de patriotisme flamboyant, ils fêtent une boucherie.

L’homme est un carnivore et parfois un loup pour lui-même. Comme déjà décrit ici, les Francomous, eux, font ça ensemble le 27 septembre. Eux aussi fêtent le déroulement d’une boucherie, mais une toute petite, même pas rigolote. Et en plus, si vous interrogez un Francomou sur les raisons de sa bouffée festive du 27 septembre, aucun ne pourra vous répondre. Bien plus, si vous trouvez un seul Francomou faisant la fête le jour de sa fête, vous serez fort aise. Parce que le jour de la fête de la Communauté Française, les paresseux Francomous travaillent.

Cependant, nos amis Flamodurs n’ont pas choisi n’importe quel événement sanglant. Ils ont choisi une tuerie toute décatie et policée par les siècles des siècles, amen. La bataille des Eperons d’Or en 1302.

Personnellement, je me verrais bien changer le motif, obscur, des fêtes de Wallonie ou celui, tout aussi flou, des Fêtes de la communauté molle. On choisirait la défaite (momentanée) des troupes de Jules par Ambiorix et ses Eburons. Ca aurait de la gueule non ? Et ce serait à peine plus moisi que le prétexte Flamodur.

Mais les Flamands eux préfèrent les éperons d’or. A en croire les observateurs peu scrupuleux de rigueur historique, la pauvre Flandre martyrisée commémore là sa victoire (qui se reproduira, n’en doutez pas, ta de rats Francomous) contre l’impérialisme français, pour ne pas dire francophone. Martyr qui perdure encore aujourd’hui.

Imaginez un peu : les 6 millions de Flamands chez qui sont réalisés la majorité des investissements dans les secteurs portuaires, routiers, ferroviaires, dont les ressortissants détiennent tous les postes de clés de l’état (premier ministre, ministres de l’intérieur, de la défense, de la justice, des affaires étrangères, du budget), la plupart des postes clés à l’armée et dans la police, et dont la situation économique est prétendument la plus belle de l’Univers, ces 6 millions de malheureux sont opprimés chaque jour par les vilains 4 millions de Francophones chômeurs, fraudeurs et arriérés. Un comble tout de même. Imaginez-vous que chaque année une famille Flamande est obligée d’offrir une voiture à chaque famille Francophone. Terrifiant. J’ai actuellement 8 Ferrari dans mon allée, c’est dire comme je profite. La dernière je l’ai même appelée Gerda en l’honneur du sacrifice flamand.

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"A la bataille de Courtrai les Français ont vu que derrière mon dos c'est de mon cul", eau forte de Van Kikooverenderbeek l'Ancien, Primitif Flamand, dépeignant la victoire Du Comte Guy de Weverus, autre primitif flamand,  sur Le Roi Elio le Bel. Musée de la vie Chère, Sofitel de New-York.

Au cours de cette sombre bagarre de Courtrai, les milices flamandes battirent les troupes françaises. Dans cette bataille il y avait tout le cœur saignant et l’âme éplorée des braves flamands qui bossent dur et se lèvent tôt hein, monsieur.

D’une sombre querelle pour des taxes sur des draps de bain, les Flamodurs tirèrent prétexte pour assassiner lâchement dans leur lit au petit matin de félons représentants de la France (hardi résumé des matines Brugeoises). Le roi de France s’en trouva offusqué. Lui, les nobles, les Grands Bourgeois, l’oppresseur Francophone quoi, et oui, tout petits déjà… envahirent la Flandre. Alors les Petites gens qui causaient le Flamand se défendirent et mirent une branlée mémorable aux oppresseurs Francophones au pied des murs de Courtrai. Car les arrogants Franco pas encore mous surestimaient déjà leur puissance et méprisaient les pauvres, pauvres néerlandophones, alors ils foncèrent comme des perdus, s’embourbèrent et furent massacrés sans pitié par une piétaille Flamo déjà dure (tout petits déjà, je vous dis) qui leur piqua leurs éperons d’or.

Depuis, les Francomous bassement rancuniers n’ont de cesse que de spolier, d’arroguer comme des arrogants, de faire rien qu’à éplorer les veuves dépossédées de la Kultuur Flamodure. Et Le Grand Leader Gaufrier d’aboyer les revendications Flamodures et Le Kris Peeters de hurler à la souveraineté du peuple élu, et le menu peuple des kleine mensen qui se lèvent tôt et travaillent dur pour s’offrir de la purée teintée de jus de betterave d’applaudir, de vociférer et d’éructer. Comme une belle bande de cons embrigadés. 

Bon… évidemment si on s’intéresse à l’histoire, les choses sont sans doute un peu moins caricaturales.

Parce qu’évidemment, le fait que cette bataille trouve sa place à la naissance du 14ème siècle, laisse peu de place aux élans patriotiques, linguistiques et romantiques d’un Henri Conscience au 19ème siècle qui comme beaucoup de ses contemporains voyait sottement de la noblesse là où il y en avait très peu.

Parce qu’évidemment, dans les forces en présence, l’appartenance linguistique comptait pour peau de balle.

Cette petite sauterie flamande trouve son origine dans plusieurs rivalités. La rivalité, tout d’abord, entre la Grande Bourgeoisie (pas nécessairement francophone, pas encore) de Bruges, détenant le monopole de l’importation de laine anglaise et des guildes, les métiers de Bruges, qui auraient bien fait affaire directement avec le roi d’Angleterre. Ensuite il y a la rivalité entre ce dernier et les rois de France. Et puis il y a la rivalité toute féodale entre les ambitions d’un Philippe le Bel, suzerain de Flandre et l’ambitieux Guy de Dampierre qui depuis des années essaye de se fabriquer son petit royaume nordique, y incluant notamment Namur. Mais bon, racontez ça à un nationaliste de base et il est perdu.

Que la grande bourgeoisie flamande s’allie au Roi Capétien.

Que des milices namuroises qui devaient aussi peu gouter le François que le Thiois mais plutôt s’exprimer en Wallon, que les Comtes de Dampierre, Namur, de Gueldre, d’Artois présents à la bataille et pas forcément tous dans le même camp, devaient parler selon les occasions le Thiois (ou une de ses formes), le François, le Latin voire le Picard, tout cela, le nationaliste de base s’en tape le popotin à fond de balle.

Qu’à cette époque là, les echte Vlamingen parlaient des langues tellement différentes les unes des autres qu’ils devaient avoir du mal à se comprendre : le Flamand, le Brabançon ou le Limbourgeois, qui correspondaient à de entités politiques différentes, on s’en tape.

Que le François, langue de cour et de littérature n’avait pas encore totalement détrôné dans le cœur des nobles et des grands bourgeois, le Latin et se retrouvait encore dans notre nord en compétition avec une autre grande langue d’Oïl, le Picard, on s’en fout.

Que les boucheries qui s’ensuivirent n’avaient rien à voir avec la Nation, la langue ou tout autre précepte dont les gens de 1300 se moquaient… peu importe aussi. Le bourrin Flamingant lui, il gueule le Vlaams Leuuw comme un con. Et il n’a pas besoin de comprendre, il a juste besoin d’un bouc émissaire, d’une bière, d’un De Wever.

Evidemment aussi, si tout bon Flamodur se souvient avec émotion de la bataille des Eperons d’Or, celle de Mons-en-Pévèle est nettement moins célébrée. C’est qu’en 1304, en assoiffant il est vrai les Flamands (une tactique à retenir ?), Philippe le Bel défait les Flamands et capture le Comte de Flandres, Guy de Dampierre qui mourra à Compiègne dans les geôles du Roi, qui finit par conclure un traité retirant définitivement à la Flandre Lille, Douai et Orchies. La branlée que se prennent les Flamodurs s’efface étrangement de la mémoire des historiens histrions et hérauts de la Grande Cause, tout occupés qu’ils sont de révisionnisme de l’Histoire, des chiffres, de tout ce qui ne leur plait pas en l’état.

Mais peu importe, ça c’est le remake historique. Les Flamodurs préfèrent la version remasterisée par Bul Kaisson, genre Taxi 8 : un taxi pour que j’te broute.

Heureusement, dès le 19ème siècle, les méchants Francomous (n’ayons pas peur des amalgames mes preux : les Wallons oui !) tenant sous leur joug spoliateur et français les rennes du Père Noël et les rênes de la Belgique, où ils mirent d’ailleurs une reine d’origine française, nos pauvres Flamodurs qui ne sont encore que des Flamoutchs se durcissent de tout partout, bandant dur l’arc de leur liberté farouche. Ils se souviennent émus de leurs ascendants brandissant, vengeurs et assassins sur la racaille française, le Lion rugissant des Flandres qui projète son ombre salvatrice sur la marée de l’usurpateur Francomou.

Ils écrivent d’ailleurs à ce propos une jolie chanson, le Vlaams Leeuw, qu’ils aiment à brailler la main sur le cœur quand elle n’est pas brandie vers le ciel, la bave aux lèvres, la rage rutilante en leur œil haineux. Vlaams Leeuw qui comme tant d’autres hymnes patriotiques fleure bon les sillons emplis du sang impur de féroces soldats voulant mugir dans nos compagnes. Jugeons-en en découvrant sa traduction (mais des extraits hein, faut pas déconner):

Ils ne le dompteront pas, le fier Lion de Flandre,

Quoiqu'ils menacent sa liberté par des chaînes et des cris.

Ils ne le dompteront pas, tant qu'un Flamand vivra,

Tant que le Lion pourra griffer, tant qu'il aura des dents.  

(…)

L'ennemi se met en campagne, en s'entourant de mort,

(….)

La lutte a déjà mille ans pour la liberté, le pays et Dieu,

(…)

Malheur à l'insensé, au traître et au faux frère

Qui caressera le Lion afin de l'assassiner.

(…)

La vengeance a sonné, et, las des agaceries,

L'œil en feu, furieux, il saute sur l'ennemi,

Déchire, détruit, écrase, couvert de sang, de vase

Et, triomphant, ricane sur le corps tremblant de l'ennemi.

 

 

 

Sympa non ? Y a pas à dire c’est un cri poignant de fraternité. Et au cas où, l'ennemi, c'est nous hein, les gars... 

Hé, ça en jette, tas de pleutres gauchistes. Autre chose que votre petite gayolle là… Et moi, ça me fait tout chose de me dire qu’en chantant cet hymne à l’amour et à la joie ce 11 juillet 2011, c’est un peu à moi, le rat francophone et à mes enfants que les plus excités de ces farouches défenseurs de Vondel pensent.

Ca fait chaud au cœur et froid dans le dos. Mais ne généralisons pas, tous les Flamodurs ne hurleront pas cet hymne à l’amour aujourd’hui. Noooonnn. C'est sûr il reste des gentils. Des mauvais Flamodurs comme les appelle Bart...

Dans une belle unanimité, nos politiques francomous en appellent à la raison, à l’amour, à la fraternité. Notez, cela fait quasi 400 jours que les politiques francophones négocient avec un parti (la NVA) qui déclare ceci depuis sa création :

« Sur le plan politique, la N-VA milite en faveur d’une république flamande, état membre d'une Confédération européenne démocratique. C’est la conviction profonde de notre parti que la meilleure manière de répondre aux défis du 21ième siècle est de disposer de communautés fortes d’une part, et d’une coopération internationale bien développée d'autre part. Le niveau gouvernemental belge se dissoudra entre ces deux niveaux, lui pour qui les principes de bonne gouvernance semblent d’ores et déjà hors de portée. »

 

Simple à lire, traduit gentiment en français, sans se cacher ni rien. Il n’y a qu’a lire on vous dit, le sympathique site de la NVA :

http://www.n-va.be/fran%C3%A7ais

Il n’y a qu’à écouter les déclarations du sympathique chef louveteau Vic Van Aelst ou encore simplement de songer aux prises de position de ce gentil parti comme un autre lorsqu’il s’agit d’immigration ou d’amnistie des collabos de 40-45.

Non, il ne faut pas s'alarmer. Pas quand en cherchant "Vlaamse leeuw" sur you tube, on tombe sur ça :  

 

Et après, on se demandera si notre beau petit pays a encore un avenir…

Cependant, il ne faut pas être négatif et sombrer dans les mêmes travers que les excités d’en face.

Sachons reconnaitre un gentil flamand d’un nationaliste. Sachons dire notre amour à nos voisins du nord !

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Source : http://portfolio.lesoir.be/main.php?g2_itemId=625811 

 

Je vous enjoins (même si l’air de rien, le mois de juillet tire un peu vers son milieu), en ce jour de liasses Flamodures versées aux francomous, de liesse Flamodure je veux dire, à donner un geste d’amour à un de nos voisins nordistes, chers sudistes.

Un geste qui servira à la fois de preuve de fraternité et de test. Allez de par les rues et les avenues de Bruxelles, de la vlaamse kust ou des campings de La Roche. Avisez un Flamodur déambulant, peu importe sa dégaine.

Choisissez une blonde accorte à forte poitrine, une brunette au sein menu et à la croupe altière, un barbu avachi et ventripotent, un fier bellâtre digne d’une pub pour dosette de café, faites selon vos goûts et tendres inclinaisons intimes, mais chopez-vous un ou une flamoutch. Criez-lui, non pas Aline pour qu’elle revienne, mais votre amour et votre envie de fraternité humaine :

Lancez lui un vibrant "Ik Hou van je, mijn broer" (ou mijn zus, ne vous trompez pas, ce serait mal pris). Et ensuite embrassez votre Flamoutch goulûment sur la bouche, si possible avec la langue. Si vous vous prenez une tarte dans la gueule, alors c’est sûr, vous avez à faire à un séparatiste.

J’espère avoir comblé vos envies populistes avec cette fresque Napoléonienne de la Geste Flamodure des étrons d’or, ayant dépeint l’épopée héroïque des hordes boueuses et veules de Thiois qui massacrèrent gaiement les Fransquillons de manière à la fois lyrique et primesautière, avec la fidélité d’un David pour son Empereur (bien que certaines sources historiques montrent un David entaché de collusions avec l’ennemi Britton puisque David, John l’attend pour les vacances, n’ayant pas changé d’adresse et à sauts d’homme veut tenir ses promesses.)

Jeudi, nous aborderons ensemble l’étude des raisons qui poussent nos voisins d’outre-Quiévrain à faire la fête un 14 juillet, quelle idée, et à célébrer une révolution, qui n’a jamais éliminé, ni la misère, ni l’exploitation, ta ta taaaaa et nous aborderons toute la symbolique Freudienne qu’il y a dans le fait que ce n’est pas l’homme qui prend sa mère, mais ta mère qui prend le home.

En vous remerciant de votre inattention et en espérant ne pas avoir répondu aux questions que vous ne vous posiez pas, je vous conchie tous peu élégamment.

 

Bonsoir.

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